Dis ans. Cela faisais dis ans, je me sens presque vieille !! Mes cheveux blond, étaient blanc maintenant, déjà qu’ils n’étaient pas très foncé au départ… Je me levais de mon tabouret à mon appel, c’était mon mari. Il était le patron du bar, en pleins milieu de New York. Avec difficulté je le rejoignis, tenant mon dos avec mes deux mains, mon ventre devait me faire ressembler à une immense baleine ! J’avais envie de claquer mon mari quand il me complimente sur mon teint, mon teint ?! Je suis enceinte de 8 mois, de jumelles, je dors et il me dit que j’ai un beau teint ! Non mais franchement. Vêtue de ma robe noir et d’un tablier je me posais devant en hochent un sourcil.
-Quoi encore ? Dis-je dans un ton pressent.
Il me sourit de toutes ses dents, enfin sauf sa dent noire vers la gauche. Sa balafre sur l’œil droit était une belle cicatrice de son amour pour moi, il m’avait sauvé et perdu quelque chose de primordial pour moi. Pour cela que je l’avais épousé et tout de suite après mes filles se sont misent a loger mon ventre, à me faire gonfler mes seins et à me faire vomir tous les matins, super agréable. Il mit ses mains sur mes épaules.
-Y a des personnes pour toi, ils disent que vous étiez ensemble dans le même camp.
Je le regardais les yeux rond, me tournant sur moi-même cherchent dans la salle presque noir de monde.
-Ils sont dehors.
Sans dire quoi que ce soit, je sortie, le soleil m’aveugler. Je mis ma main devant mes yeux pour me protéger, c’est là que je l’ai vis. Mes compagnons de combat, mes amis, mes ennemis, mes complices. Je descendis les quelques marches qui nous séparaient pour venir vers eux.
Et bah voilà et je suis même pas en retard :3 Bon, vu que j'ai écrit maintes fois la vie futur de Mary [ avec Tyson et des bébés à trois yeux *O* ] que James est mort et que j'aime pas Malcolm [ (a) ] bah je vous sers un peu de Mila. Bon, ça suffit le blabla, place à la lecture :3 PS : Spécial dédicace à Luna qui aime le niais même si en fait c'est pas aussi niais que ça... :keurs:
Vous avez jamais remarqué qu'à chaque début de film, il y a toujours une musique charmante généralement chanté par une femme et que le plan s'ouvre sur une femme, jeune et charmante tout comme la musique, qui marche dans la rue, un café à la main et généralement en retard. Et bien c'est exactement ça. Même que la brunette était très, très en retard, qu'elle courait sans café à la main, et que si elle n'arrivait pas à la gare dans trois minutes précisément, l'amour de sa vie allait arrivé et allait se prendre un vent énorme parce qu'elle s'était réveillée en retard. Parce qu'elle était stupide, et aussi qu'elle avait discuter jusqu'au bout de la nuit avec Luna, une sorcière avec qui elle avait sympathisé il y a genre une dizaine d'année. C'est avec un soupir plein de soulagement qu'elle arriva pile au moment où la voix aigrie d'une femme probablement décédée désormais déclara l'entrée en gare du train.
" Mila ? "
La dite Mila sursauta. Apparemment, ce n'était pas le bon train. Son coeur se serra comme si elle venait de louper sa vie et elle se retourna, avec une grimace affichée sur le visage.
" Je suis désolée, j'ai envoyé ma voiture dans un arbre la semaine dernière parce qu'une sale bête s'était glissée au milieu des vaches et je me sentais pas de venir en tracteur... Et puis j'aime pas les taxis, bref, je suis une idiote. Tu as fait bon voyage ? "
Le garçon qui lui faisait face lui sourit, et la prit dans ses bras avant de l'embrasser. C'était pas que la fille de Juventas lui avait manqué, mais un peu quand même. Ca faisait presque trois mois qu'il ne l'avait pas vu. Mais son excuse pas tellement bidon c'est qu'il était allé rendre visite à Aymeric, qu'il n'avait pas vu depuis genre dix ans. En dix ans, il avait bien grandit le gamin. Remarque, Mila aussi. Lui qui aimait tellement la charrier sur sa petite taille, c'est à peine s'il la dépassait maintenant. Parce que la fille de l'adolescence avait fini sa crise d'ado vers 23 ans, et avait poussé d'un coup. Normal, quoi. Finalement, il la relâcha, et elle put afficher un sourire sur ses lèvres.
" Bon voyage, j'avais juste oublié qu'il faisait aussi froid ici. - C'est l'Alaska, idiot ! "
Lui répondit-elle en levant les yeux aux cieux. Il acquiesça et s'empara d'une de ses mains après avoir mis son sac de voyage sur son épaule.
" Comment il va ? - Qui, Aymeric ? - Bah non, son chat. - Oh, le chat va bien, il est toujours aussi seul et détestable, mais bien. - Ahem ? - Il va bien. Et tous le monde au camp va bien aussi, avant que tu ne demandes pour chacun. - Ah, cool... - Tu savais que Reyna avait fait un bébé avec Jason ? - Bah, oui. Je suis ça sur facebook. Et puis, j'ai ma taupe là-bas... - Oui, un certain Lucas... - Oh, allez, sois pas jaloux. Toi tu as bien... Eum, Sophie ? - Ah m'en parle pas de c'te pot de colle. "
Mila éclata de rire, et lâcha la main de son époux pour entremêler leurs bras ensembles. Oui, son époux. C'était pas tellement dans ses projets, il y a dix ans, d'épouser un certain fils de Cérès, partir vivre en Alaska dans une ferme élever trois vaches et six chats, d'avoir deux enfants et un placard remplis de produits vaisselle à la pomme. Non, il y a dix ans elle s'était plus vu vieille fille enseignant l'histoire à la nouvelle Rome et radotant des vieilles histoires, à l’affût du dernier potins.
" Oliver ? On va manger des cookies, steuplaaait ? - Mais toujours, ma très chère. "
Ils entrèrent alors dans un café, des sourires idiots collés aux lèvres avec des regards remplis d'amour prêt à s’empiffrer de cookies.
Ma gorge se serre.C'est une horreur.Un abominable carnage, une abomination, une .... une.... OH MES DIEUX. Quel affreux croquis. C'est la pire arme que j'ai jamais dessiné.Même quand j'avais seize ans, je faisais mieux, avec mon cran d'arret-arc et ma bague-glaive. Non, décidement, cette baguette magique est affreuse. Cela fait six ans que j'éxerce ce métier.Je dessine des modèles de baguettes magiques design, d'armes magiques et d'armes non-magiques, pour toute la communauté "Au courant".Je me suis fait une bonne réputation,j'ai déjà ouvert plusieurs magasins, dans les milieux magiques differents, et j'ai des centaines d'employés. Mais ce dessin ... Et si je perdais mon talent ?
Je me lève, et regarde dehors.Mon forgeron actuel est un stagiaire grec.Il a mon âge, quand j'avais commencé à faire des croquis et des plans.Il a du talent et de la volonté.Et plus que tout, il me rapelle moi. Evidemment, il ne le sait pas, et c'est très bien comme ça. Mon téléphone sonne. Oui, mon téléphone.Je l'ai crée, en étroite collaboration avec Joyce Neller, une fille du dieu des SMS...
D'ailleurs, c'est elle qui m'appelle.Je décroche, cela fait plusieurs semaines que je ne l'ai pas vue. Nous avions une conversation polie, qui se transforme en gag.C'est toujours comme ça avec elle.On ne peut pas s'empècher de faire des vannes.
Mon assistante sorcière passe la tête par la porte.
"-Monsieur Brave, il est temps de rencontrer votre cliente."
Je sors en marmonnant.Je n'aime pas être intrrompu dans mon travail.Je lui en toucherait un mot plus tard.
Soudain, je me fige.Devant le comptoir de marbre, se trouvent d'anciens camarades romains et grecs, qui me sourient plus ou moins chaleureusement. Cela faisait 10 ans que je n'avais pas vu certains grecs.Je serre quelques mains, enlace quelques personnes, et leur demande ce que je peux faire pour eux.
L'après midi fut consacrée à la réalisation de leurs demandes et à la livraison.
Exténué, je rentre chez moi.Je fais attention à ne pas faire de bruit, mes enfants dorment.Je rentre dans leur chambre à pas de loup, et souris d'un air stupide. Ils ressemblent à leur mère, mais aussi à moi. Ma fille a les cheveux blonds de son grand père, Apollon.Elle me ressemble en tous points, elle adore la guerre, et rien ne lui plaît plus que se battre. Oui, elle a bien deux ans. Mon autre fille, ne ressemble à aucun de nous deux.Elle ressemble à la déesse de la beauté, et à la déesse de la guerre.Elle a des fossettes magnifiques, et son doudou est une poupée en chiffon gladiatrice. Mon fils, lui, ressemble à Eileen, aussi bien du point de vue artistique que du point de vue physique.Mais son retrouve mes traits, quand on cherche bien. Ce sont les plus beaux enfants du monde.Les triplés les plus différents.Nos triplés, à moi et à Eileen. Je l'entends s'approcher, et je sens son sourire dans le noir.Il rayonne, comme elle.
Je repense à mé situation d'il y a dix ans. Non, rien de rien.Non, je ne regrette rien.
Je sors, attrape ensuite mes instruments de travail, me penche ,et admire la feuille un bon bout de temps avant de crayonner comme un fou. Je crayonne jusq'à ne plus sentir mes doigts.
Je ne ressens plus rien, je crayonne. Je crayonne mon bonheur, ma vie.
Quand j'y repense, c'est fou ce qu'on évolue en 10 ans. Il y a dix ans, je dessinais dans l'ombre de ma tente, sans lumière convenable.J'amenais des filles dans on lit tous les soirs. Maintenant, les seules filles qui dorment dans mon lit sont ma femme et mes filles. Il y a dix ans, je me battais contre les forces du mal. Maintenant, elles sont anéanties. Comment ça s'est passé ? On s'est arrangé pour empoisonner toutes ces forces, par des moyens divers.Les sorciers se sont chercgés des Titans, les combattants des sorciers.Nos adversaires étaient tellement déboussolés quand leurs baguettes se désintégraient, et quand leurs pouvoirs étaient stoppés par des singes abrutis avec des batons...
Gemma R. Prescott
« Grecque »
Messages : 393 Humeur : I'll be the beauty queen in tears ♫
C'était comme revivre un mauvais rêve. Se sentir transpirant dans les draps, lançant des coups de chaque côté, luttant contre un ennemi imaginaire. C'était comme sentir, tout contre sa peau, une épaisse fumée sombre qui te picotait les yeux. Qui te pourrissait chaque partie de ton épiderme qu'elle touchait. C'était comme se dire que l'on mourrait doucement. Que l'on se délectait de chaque seconde que l'on perdait. C'était atrocement douloureux, cette lame que l'on s'imaginait plantée un peu plus dans sa poitrine à chaque instant. Et qui, une fois bloquée par une côte, se tournait dans tout les sens pour tenter de la broyer. Comme toi, te retournant sans cesse, enlevant un peu plus tes draps au fur et à mesure de tes efforts, pour essayer se sortir de ces mondes imaginaires et étranges que sont les cauchemars.
C'était comme frôler la mort une seconde fois.
~
Tu te réveilles soudain, encore palpitante. La lumière qui filtre à travers les rideaux t'aveugle. Tu paniques soudain derechef, ta vision est trouble et tu t'imagines un ennemi utopique. Mais malgré l'amputation temporaire d'un de tes sens, tu te calmes. Parce que tu entends le bruit étouffé de l'agitation de la ville, dehors. Parce que tu sens la salive amère dans ta bouche, comme si tu avais eu du mal à respirer. Parce que tu ressens, collés à ta peau humide de sueur, les draps blancs et légers qui te recouvrent à peine. Parce que tu humes dans l'air l'odeur sèche d'un appartement clos. Tu entends les klaxons impatients et les piétons qui gueulent. Tu sens ta difficulté à déglutir, et ce sang dans ta bouche. Tu ressens ton corps nu sous une couverture fine et dérisoire. Tu inhales des relents de chocolat chaud, de peinture fraîche et de transpiration. Et puis, doucement ta vue revient. Tu ne distingues pas grand chose, au premier abord, et les détails te paraissent invisibles. Tu lèves la tête maladroitement et observe l'endroit où tu es couchée : un grand lit recouverts de draps qui sont sans dessus dessous et de deux oreillers écrasés. La respiration tremblante, tu regardes un peu plus à droite. C'est une pièce carrée, dans les tons clairs du beige. Une petite bibliothèque est collée contre le mur en face de toi, et à côté d'elle une fenêtre aux rideaux fluets apporte une lumière matinale. Encore plus à droite, une grande toile est recouverte d'une peinture colorée qui te fait mal aux yeux. Tu détournes le regard et décide de te lever. Tu fais passer tes jambes au bord du lit, et te mets assise. Le goût de sang dans ta bouche provient de ta joue que tu as mordue. Tu te lèves, chancelante, enroulant le drap fin autour de ton corps dénudé. Tes mains tiennent le tissus en place et tu t'avances jusqu'à la fenêtre. Tu scrutes un moment la rue bondée d'un quartier de New York en respirant doucement. La couverture traine à tes pieds. Le sol est en bois et grince quand tu marches dessus. Tu tournes la tête, et aperçois la fameuse toile. Elle est peinte dans les tons du rouges et du gris, avec quelques pointes d'autres couleurs à certains endroits. Tu songes que représenter l'horreur d'une bataille – de cette bataille – en un tableau est risqué. Mais tu es une fille d'Apollon, et tu y es arrivée. Ça se ressent, en regardant cette toile. De peur que les souvenirs n'affluent encore, tu détournes les yeux. Tu sens ton cœur cogner contre ta poitrine. Tu te sens faible. Tu te sens mortelle. Tu te sens vide et morte. Une voix te ramène à la réalité, douce et claire. Tu ne comprends pas ce qu'elle dit : la porte est fermée, et tu es seule dans cette pièce calme. Une autre voix vient répondre à la première. Plus forte, plus grave. Elles te semblent familières et rassurantes, mais là, tout de suite, tu ne vois pas à qui elles sont. Tu ne vois plus qui tu es. La jeune-fille effrayée et essoufflée qui court à en perdre haleine au milieu des boules de feu et des cadavres ? Celle qui avait peur, et qui tremblait en tenant son arc ? Celle qui te fait honte, et te déshonores ? Ou celle que l'ardeur du combat a poussé à s'engager dans la bataille ? Celle qui a tiré mieux qu'elle ne l'avait jamais fait ? Celle qui visait juste à chaque lancé ou presque ? Celle qui a faillit mourir d'un coup d'épée dans le ventre. Tu te remets à paniquer, tu transpires. Ta respiration s’accélère et tu es obligée de te tenir à une commode pour rester debout. Ces maudits souvenirs ne te lâcheront-ils jamais ?! Un petit garçon entre sans toquer, il tient une voiture miniature à la main et il a les joues potelées d'un enfant de quatre ans. Ses grands yeux bleus te scrutent avec curiosité.
L'histoire que j'ai préféré est celle d'Eileen, c'est la plus touchante et surement la plus réaliste : on ne sort pas indemne d'un combat comme ça... En plus ça m'a un peu fait penser à Hunger Game (allez savoir pourquoi x) )
J'ai trouvé que les autres manquaient un peu d'originalité, et étaient un peu trop joyeuses... Voilà. Mon vote est posté, on attend les autres
Alors... Déjà, merci beaucoup d'avoir participé ! Vraiment. Je tenais à cette soirée, c'était un peu mon retour d'une absence trop longue. Et donc merci, ça fait plaisir de voir que même en étant plus trop là, vous continuez à faire tourner le forum sans problème.
Donc. Je vais vous faire de rapide critique, parce que chaque texte à du bon et du moins bon, et que je vous dois bien ça !
Texte 1 : Et bien, oui des fautes. Oui c'est court. Mais j'ai bien aimé, vraiment. C'est dommage toutefois que l'histoire des retrouvailles ne soit pas plus approfondis, ou cette histoire de vieillesse... Mais sinon, j'ai bien aimé. Le fait de se sentir vieux. Oui, c'était très intéressant je trouve.
Texte 2 : Ahlala... Tu t'y es prise tard, mais tu l'a fait. Le texte est bien présentée, il est assez long contrairement à ce que je pensais vu ton temps d'écriture. x) Non c'était pas mal. Seulement... Overdose de niais pour moi en ce moment. Tu es mal tombée... Hé ouais, je suis en manque de Posebeth je perds la main !
Texte 3 : Et bien franchement... J'ai bien aimé ! Cette histoire de dessin. Le dessin et les souvenirs. Ça concorde parfaitement je trouve, c'était bien trouvé. Le texte était pas mal, bien qu'un bug de code c'est dommage... J'aurais peut être préféré une fin un peu plus aboutie. La prochaine fois ?
Texte 4 : Alors... J'ai du vraiment du mal au début. La deuxième personne, ça me dérange un peu. Je sais pas, c'est agressif je trouve. M'enfin encore un opinion personnelle. Mais... Je dois dire que la fin à énormément rattraper ce gros détail. J'ai été très agréablement surprise !
Après des heures de délibérations, et l'ajout d'un juge, nous avons convenu d'un grand vainqueur. Mais tout d'abord, un commentaire personnalisé, pour faire durer le suspens.
CRISTAL Texte un peu court, c'est dommage, l'histoire est relativement bien menée, on aurait apprécié une fin plus développée. (Un accouchement en urgence, à cause de l'émotion, par exemple ?) Les fautes, hélas trop nombreuses, ont été ton plus grand handicap dans ce concours. "Dis ans" au lieu de "DiX ans", ça brûle les yeux.
MARY Présentation agréable, dédicace appréciée (haha.) Et retour original au Camp Romain, avec le voyage de ce cher Oliver. Un bon travail, agréable à lire.
CHARLIE Un problème de code, ce me semble, n'est-ce pas ? C'est dommage. Une excellente codeuse était dans le Jury, et ça t'a, pour ainsi dire, été fatal. L'histoire est pourtant originale, bien tournée, et le passage au sujet des dessins vraiment apprécié. C'était malheureusement un peu mou. Assure-toi d'avoir un code juste, ou n'en met pas, la prochaine fois, ce sera à mon avis, bénéfique !
EILEEN On ne sort pas d'un combat sans séquelles, qu'elles soient physiques ou psychiques. Ton texte était émouvant, et très juste. Une Eileen au réveil, ça m'a l'air fort dangereux. Et la chute, avec le petit garçon, c'est absolument adorable. Bravo à toi.
Vous l'aurez deviné, à l'unanimité, c'est notre chère Eileen S. Harrison. Elle remporte quelque chose, mais je sais plus ce que c'est, et un paquet de bisous, parce que c'est trop bien.
Moi je suis pas du jury mais je dis quand même. Je peux ? Alors tous les textes étaient supers, vraiment. J'ai une préférence pour ceux d'Eileen et Mary parce que Eileen ecrit super bien avec pleins pleins de détails et c'est super beau *-* et parce que j'ai lu pas mal de texte de Mary et que j'aime beaucoup. Et puis Mila est super, et on ne sait pas grand-chose sur elle. L'OS de Charlie, avec l'histoire du dessin c'est original j'y aurai pas pensé. Et pour Cristal, c'est cool qu'elle soit de retour parce qu'elle avait déserté pendant quelques mois. Le seul truc que je reproche à l'OS c'est qu'il est un peu court, mais ce n'est pas vraiment moi qui doit dire ça, je ne sais pas écrire des longs textes. Sinon, pourquoi Luna et Annabeth n'ont pas participées ? Leurs textes sont toujours magnifiques
Si elles participaient, qui ferait le jury ? x') Sinon je tiens à dire que je kiff grave tous vos textes, et même que je suis pour l'idée de Luna, avec l'accouchement parce que trop d'émotions XD. Et puis je kiff les textes de Mary et Klaus, parce que je suis les deux dedans (a) nan je vous charie, j'ai trop adoré comment vous avez eu de supers idées *-*
Han :') On n'a pas participé parce qu'on a organisé, c'est moi qui ait choisi le thème, la veille. Ç'aurait été de la triche de participer avec une journée à penser à mes idées, tu vois ! N'empêche, je prépare deux OS sur ce thème, plus ou moins. Et merci Oliver. :')
Mwhaha, on s'en refera un, c'est promis ! Faudra juste qu'on voit pour la date, et qu'il y ait assez de gens. ** Et tout cas, merci de passer commenter même si vous étiez pas là !
Sujet: Huitième concours ♣ 23/02/2013 ♣ Retrouvailles 
Sam 23 Fév - 21:12
Texte un peu court, c'est dommage, l'histoire est relativement bien menée, on aurait apprécié une fin plus développée. 
