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 Le second, Samedi 7 Septembre.

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Mary Jones
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MessageSujet: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 12:51


Samedi 7 Septembre.

Pour se divertir un peu des cours et de la rentrée - réussie ou pas - et aussi parce qu'on aime bien ce jeu ! 1H, 1OS, ce soir. Pour participez, vous devez nous faire un câlin et vous rendre sur la chatbox vers 21h30 ! Vous pouvez aussi le signaler avec un message en dessous - ça fait toujours plaisir ! -

Participants : Nev', Lily, Lexie, l'olive poilue. Mary. La joie et le barbu !

Jurés : Encore des gens.

Thème : A venir.


A gagner : 200 points pour le premier prix.
100 points pour les autres.
50 points pour les jurés.
 

Alexia Fernandès
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 13:04

J'aimerai vraiment, du fond du coeur, participer, mais comme je l'avais dis sur la CB, je serai surement à table à 21h30. So... Je participerai peut-être, avec un peu de chance.
 

Neville Londubat
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 13:26

Je m'inscris - avec un câlin - mais je ne suis pas certain de pouvoir être là.
 

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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 13:40

J'aimerai réellement participer mais je ne sais pas si je peux, par contre. Donc, je m'inscris au cas où. Sachez que si je ne suis pas là, je jugerai. Promis. rabbit
 

Alexia Fernandès
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 15:02

Je sais, j'aurai du édité mon premier message, mais je voulais que tout le monde sache, JE SERAI LA CE SOIR ET JE PARTICIPE ! Et toc.
 

Oliver C. Weaver
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 16:23

I'll be there ! (for youuuu /sbaff/ pardon, nouvelle pub de Touche Pas A Mon poste :'D)
 

Mary Jones
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 16:42

( De Friends surtout. *Q* ) J'ajoute tout ça. **
 

Joyce Neller
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 17:50

Je serais là ce soir ! Smile
 

Lyle A. Darling
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 18:20

Je serai là, pour écrire si ça m'inspire, pour juger sinon. rabbit
 

Mary Jones
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 19:34

Okaaaaaaaaay, so ! Pour le dernier concours, on n'avait pas de thème précis, mais des contraintes ! Pas cette fois. On a un mot pour vous, et à vous de vous débrouiller.

U N D E R W A T E R


C'est relativement vaste, il me semble. A noter, on traduit ça par " sous l'eau "
Et bien, vous avez jusqu'à 22 heures 35 pour nous soumettre vos textes. Amusez-vous bien !
 

Alexia Fernandès
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 20:16

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Le Lapin et La Carpe.


Assise sur les genoux de sa mère, le petit garçon écoutait avec beaucoup d’attention. Il adorait entendre sa mère lui raconter des histoires. Aujourd’hui, c’était son histoire préférée. Le Lapin et La Carpe.

« _ Il était une fois, il y a très longtemps, un petit lapin qui s’appelait Flocon de Neige. Ce petit lapin était très curieux et adorait se faire de nouveaux amis. Malheureusement, il ne connaissait aucun autre lapin de son âge. Les autres lapins étaient beaucoup plus vieux. Alors, un jour, quand le petit lapin alla voir son grand frère, celui-ci lui dit qu’il était trop jeune pour jouer à leurs jeux. Bien sur, Flocon de Neige insista, alors, son frère le laissa venir. Le jeu des lapins était simple, il fallait sauter par dessus la rivière sans toucher l’eau. Malheureusement, Flocon de Neige était trop petit. Et même si il était très courageux, il n’a pas réussi à sauter au dessus de la rivière et est tombé dans l’eau.
_ Qu’est ce qui est arrivé au petit lapin après maman ?
_ Et bien le petit lapin aurait du se noyer, mais il avait un très grand cœur. Comme le petit lapin ne pouvait pas respirer sous l’eau, une carpe magique vient à son aide. La carpe était aussi une petite carpe, du même âge que le lapin. Mais cette carpe avait des pouvoirs magiques. Et quand elle vu le petit lapin, la carpe souffla, souffla, souffla et fit une magnifique bulle dans laquelle le petit lapin pouvait respirer.
_ La carpe est très gentille !
_ Oui, c’est vrai.
_ Il s’est passé quoi après maman ?
_ Après, le petit lapin qui ne savait pas nager et ne pouvait pas respirer sous l’eau et qui avait perdu connaissance se réveilla dans sa petite bulle. La carpe sourit et dit «_Bonjour petit lapin, comment tu vas ? ». Flocon de Neige regarda la carpe et répondit « _ Je vais bien… Comment se fasse que je puisse respirer sous l’eau ? _ Tu es dans une bulle magique, répondit alors la carpe, je t’ai trouvé inconscient et je voulais t’aider. _ Tu m’as sauvé la vie alors ! _ En quelque sorte. Comment tu t’appelles ? _ Je m’appelle Flocon de Neige, et toi ? _ Je m’appelle Arc-en-Ciel. » Alors, Arc-en-ciel commença a tourné tout autour de Flocon de Neige. Le petit lapin mit un moment à comprendre comment il devait faire, mais finit par réussir à avancer sous l’eau sans sortir de sa bulle. Ainsi, le petit lapin et la carpe jouèrent ensemble tout l’après-midi. Mais, le petit lapin ne pouvait pas rester dans l’eau. Alors, tout triste, il dit à la carpe : « _ Je vais devoir rentrer à la maison. Mais tu peux venir chez moi si tu veux ! _ Je ne peux, répondit la carpe, je ne peux pas respirer en dessous de l’eau. _ Mais tu es mon seul ami ! _ Je suis désolée Flocon de Neige. _ Je pourrai revenir te voir au moins ? _ Je ne pense pas. _ Alors je te promets de venir te voir au bord de la rivière tous les jours. _ Je t’attendrai tous les jours alors. » Après un dernier tour ensemble dans l’eau, le petit lapin sorti de l’eau.
_ Mais la carpe ? Maman, la carpe a plus de copain après ?
_ Mais si, parce qu’après le lapin est revenu voir la carpe tout les jours jusqu’à ce que la carpe meurt mon chéri.
_ Ils sont restés amis alors ?
_ Oui mon cœur, ils ont toujours été amis. Le petit lapin ramenait même des carottes à la carpe.
_ Alors ils étaient heureux tout les deux !
_ Oui mon cœur et tu sais pourquoi ?
_ Pourquoi ?
_ Parce que l’eau n’était qu’une barrière. Et quand on sait franchir n’importe quelle barrière,  on peut réussir à faire ce qu’on veut.
_ C’est comme toi et papa ?
_ Oui, s’est exactement comme moi et ton papa mon cœur, il vient pas de notre monde ton papa, tu sais ?
_ Oui, je sais, c’est pour ça qu’il n’est jamais là.
_ Mais il t’aime et il te surveille tout les jours.
_ Comme la carpe maman ?
_ Exactement comme la carpe mon chéri, maintenant dort.
_ Maman ? Comment il s’appelle mon papa ?
_ Tu le découvriras un jour mon cœur.
_ Bonne nuit maman.
_ Bonne nuit Dany. »


Alexia Fernandès borda tendrement son fils avant de descendre s’asseoir devant la cheminée. Elle aimait l’histoire du lapin et de la carpe. Bien sur, le père de Dany n’avait rien à voir avec l’eau, mais cette histoire était une belle leçon de vie. C’est un peu comme ça qu’elle avait rencontré le père de son enfant. Elle avait la tête sous l’eau, et lui, il l’a aidé à la sortir. Même si ce n’était que métaphoriquement parlant. Cette histoire racontait seulement qu’avec un peu d’effort, on peut franchir n’importe quelle barrière et réussir ce qu’on voulait dans la vie. Et c’est ainsi qu’Alexia voulait élever son fils.

 

Joyce Neller
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 20:30

From the world I leave behind
It's enough to lose my head

Marcher, marcher vite. Encore et encore. Ne pas se laisser aller. Ne pas s'arrêter. Ne pas réfléchir. Marcher. Marcher encore.


Disappear
and not be seen again

Non Joyce, non, ne craque pas. Non, ne fait ça. Pleure si tu veux, pleure mais ne t'arrêtes pas, ne te retourne pas.

Bursting through a blood red sky
A slow landslide


Elle était incapable de retenir ses larmes plus longtemps. Pourquoi cette chanson, cette maudite chanson la hantait comme ça ? Pourquoi lui ressassait-elle ça ? Pourquoi ?
Elle accéléra, elle devait marcher encore plus vite. Elle devait s'éloigner de cet endroit. Elle devait fuir encore et encore.

And the world we leave behind
it's enough to lose your head  

Elle commença à courir, de plus en plus vite. Elle suffoquait sous ses larmes mais peu lui importait. Il fallait qu'elle mette le plus d'espace possible. Il fallait qu'elle parte. Il fallait qu'elle oublie. Il fallait qu'elle oublie ce visage. Ce visage implorant, ce visage déçu. Déçu de sa lâcheté. Joyce n'était qu'une lâche. Elle l'avait abandonné pour sauver sa propre vie. Et maintenant il était en train de mourir. Il était peut-être même déjà mort.

Disappear and not return again...

Oui, elle allait partir. Elle allait disparaitre. Elle faisait ce qu'elle avait toujours fait. Fuir. Mais sans lui. Cette fois, elle devait fuir seule.


Bursting through a blood red sky

Pourquoi ? Pourquoi avait-il fait ça ? Pourquoi était-il intervenu ? Pourquoi l'avait-il protégé ? Il ne n'aurait pas dû le faire. Il n'avait aucune raison de le faire. Si bien sur. Elle était sa demi-sœur. On protège sa famille n'est-ce pas ? Mais elle n'avait pas protégé la sienne. Elle s'était contenté de fuir. De le laisser agoniser avec pour seule dernière image celle de la blonde. Celle de sa sœur regardant l'arme de son agresseur, le sang sur le visage du fils d'Hermès et tournant les talons sans demander son reste. Il allait mourir en emportant avec lui le pire souvenir de Joyce. Sa lâcheté.

A slow landslide

Oui, un lent raz-de-marée. C'était ce qui l'envahissait en ce moment même. Un raz-de-marée de honte et de rage. De rage et de haine contre elle-même. Elle aurait dû affronter cet ennemi. Même si elle n'avait aucune chance de sauver sa vie. Elle aurait dû le faire. Mais maintenant elle ne pouvait plus faire retour arrière. Elle devait continuer de courir sans s'arrêter. Peu importe le nombre de personnes qu'elle heurtait. Peu importe ce qu'ils pensaient. Peu importe qu'il croit voir une petite voleuse en cavale. Ou une pauvre fille en peine de cœur. Ils ne pouvaient pas comprendre. Ils ne pouvaient pas savoir qu'un meurtre avait été commis sous leurs yeux. Et que cette pauvre fille qui courait en larmes en était à moitié responsable.
Car c'était elle qui l'avait entrainé à faire le mur. Elle qui l'avait entrainé dans cette rue maudite. Elle qui l'avait emmené droit dans un piège sans même s'en rendre compte. Elle aurait dû protéger son petit frère et pas l'inverse !  C'était son rôle à elle ! Elle aurait dû se mettre devant lui pour se battre. Ça ne devait pas être le contraire ! Alors pourquoi l'avait-il fait ? Pourquoi avait-il pris la lame pour elle ? Et par les dieux pourquoi l'avait-il regardé avec un tel espoir ? Qu'aurait-elle pu faire de plus ? Se battre était vain. Elle n'avait pas eu d'autres choix que de fuir.
Mais vivre avec cette mort sur la conscience ? Joyce devait sa vie à la mort de plusieurs autres personnes... Mais jamais cela n'avait été quelqu'un de proche. Jamais elle n'avait ressenti de remords parce que jamais elle ne les avait eu dans son cœur.
Mais elle ne pouvait pas vivre avec la mort de son petit frère sur la conscience. C'était sa première année à la colonie. Il venait à peine de découvrir sa famille... Et il était mort sans même avoir le temps de s'épanouir !

Underwater, underwater

Elle s'arrête au bord du port. Elle ne pouvait pas aller plus loin. Elle se retourna, elle les avait semés. Elle n'était pas suivie. Elle était libre en somme. Mais sa conscience ne l'était pas. Elle regarda l'eau. Sa profondeur. Sa beauté... Et son mystère.


I can live Underwater

Oui, elle pouvait vivre sous l'eau. Elle pouvait libérer son esprit. Elle pouvait se libérer d'elle-même.  Le visage de son frère, dans son agonie, s'imposa devant elle. Elle ferma les yeux. Non, elle ne le pouvait pas. Elle le devait. Elle n'avait pas le choix. Il serait peut-être mort en vain. Mais il ne servait à rien de mourir pour une lâche. De mourir pour quelqu'un qui ne lui aurait jamais rendu la pareille. Elle rouvrit les yeux. S'avança un peu. Regardant son reflet dans l'eau sombre.
Non. Plus jamais elle ne pourrait se regarder dans un miroir.
Il suffisait d'un pas. Un pas et tout s'arrêterait.
Elle ferma les yeux de nouveau. Et avança.
L'eau l'emprisonna. Elle rouvrit les yeux. Des milliers de minuscules bulles d'air l'encerclaient et remontaient vers la surface tandis qu'elle coulait. Plus profond encore. Les yeux rivés vers la surface. Vers la lumière qui se transformait en obscurité.


I can breathe, Underwater


Elle ouvrit la bouche. Inspira. L'eau s'engouffra dans ses poumons. Maintenant c'était fini. Elle n'avait plus à s'en faire. Tout allait s'arrêter.

Tout était enfin fini.
 

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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 20:31

Voilà. En 30 minutes, je l'ai écris. Soyez gentils.


Il existe des gens que l'on connait à peine. Que l'on voit mais qu'on oublie. Ces gens-là passent inaperçus, parce que au fond, ils se fondent dans la masse. Dans la masse du monde. Ils sont banals, communs et atrocement agaçants. Parce que qui aime la banalité ? Qui aime la routine ? Pour aimer quelqu'un, il faut qu'on lui trouve un petit quelque chose, une petite étincelle. Quelque chose qui le rend unique et qui peut vous faire éprouver ce sentiment si beau qu'est l'amour.  

Mais elle, elle n'était pas comme ça. Elle était tellement commune, elle aimait tellement la normalité... C'était ça qui la rendait si spéciale. Parce que rien d'extraordinaire si ce n'était d'aimer le calme plat, les choses pré-conçues et les banalités humaines. C'était une sorte de contradiction bizarre qu'il éprouvait pour elle. L'unique sensation d'aimer le normal. Et, c'était pour ça qu'il l'avait choisie. Personne ne pouvait dire le contraire.

Ils étaient pareils.

Mais elle, elle n'avait pas eu une enfance facile, oh non ! Il la plaignait vraiment, de tout son coeur et compatissait avec tellement de sincérité qu'elle pensait avoir trouvé l'âme-soeur. Personne ne peut dire si c'était réellement le cas mais le fait est, que, ils ne se sont jamais séparés. Lui avait eu une vie banale, une vie qu'il avait aimé, une vie qui l'avait élevé en quelque sorte. Si tu ne connais pas le plaisir d'être unique, cette si belle sensation, tu ne peux pas l'aimer. Pour aimer quelque chose, il faut déjà y avoir gouter. Il n'a jamais gouter à la différence, il l'a donc toujours détesté.

Mais le pire pour lui, c'est quand il avait rencontré la chose qui avait fait détester la différence à sa bien-aimée. La chose était une personne, une fille. La fille en question était rousse. Comme une carotte, s'amusait à dire le copain de la chose. Lui aussi était différent. Lui aussi les deux normaux le détestait. Elle le détestait parce que il avait trop changé sa soeur, qu'elle n'arrivait plus à la reconnaitre. Et même si elle le cachait, elle souffrait. Elle souffrait du vide qu'elle ressentait en se disant qu'elles ne pourraient plus rien partager. Parce que c'était dur à dire, ça. Que la personne avec laquelle vous avez grandi a changé de toutes pièces.

Et que vous n'avez absolument rien en commun. Que vous êtes telles le jour et la nuit.

- Tu vas sombrer, tu sais. Un jour, tu regretteras de ne pas avoir refusé cette lettre. Et tu couleras, tu couleras loin. Sous l'eau. Et tu te maudiras de ne pas avoir écouté ta chère soeur.

Les paroles de la normale à l'anormale. Du moins, c'était ce que le premier couple pensait. Le second avait d'abord essayé de ne renouer les liens. Parce que la soeur ne voulait pas être séparé de celle avec qui elle avait joué, petite. Elle voulait son soutien, son approbation. Elle voulait qu'elle l'accepte comme elle l'était. Alors la rousse aussi souffrait, elle souffrait du manque de la seule personne de sa famille qui la rejetait.

Les deux avaient mal mais elles ne disaient rien. Car elles n'avaient pas été élevées dans cette optique. Elles affrontaient la vie comme elles venaient. Elles avaient été élevées de la même façon, elles avaient grandi ensemble, elles avaient évolué différemment. Et elles avaient fini par se renier. Par oublier les liens familiaux qui subsistaient tant bien que mal entre elles deux.  

- Je t'avais fait une proposition, je te rappelle. Et tu as refusé, tu as refusé mon aide et tout ce que je pouvais t'offrir. J'ai des pouvoirs que tu n'as pas, tu sais. Et je veux les partager avec toi, comme nous le faisions lorsque nous étions enfant. Mais nous avons grandi, maintenant. Et si tu ne veux plus de moi, tu te trompes car c'est toi qui t'enfoncer. Dans l'eau. Sous l'eau. Bien loin de là où je suis, et plus rien ne pourra nous réunir. Est-ce vraiment ce que tu veux ?

La plus petite avait fait une offre à la plus grande que celle-ci avait évidemment décliné. Evidemment, ce n'était pas dans sa nature de femme au foyer modèle, normale et sans étincelle personnelle. Si la plus grande avait su ce qui allait se passer par la suite, peut-être n'aurait-elle pas décliner l'offre de sa rousse de soeur. Elle l'aimait au fond d'elle. Mais elle le cachait car pour son mari et pour l'image qu'elle voulait d'elle, elle ne devait pas apprécier les personnes singulières. Oui, son mari. Ils se sont mariés, juste avant que l'événement ne se passe. Si ils avaient su... Si seulement ils avaient su...

Peut-être que rien ne se serait passé comme tel le 31 octobre. Ou peut-être que si. Peut-être les normaux n'auraient rien fait, jugeant que ce n'était pas de leur rang. Ou de leur capacité. Étaient-ils jaloux ou dégoutés ? Nul ne le saura jamais. Car les deux couples ne pourront plus se rencontrer une dernière fois.

- Lily est morte.

En 3 mots, des espoirs peuvent se briser, des souvenirs ressurgir à la surface et des larmes couler. Pétunia n'avait pas été élevée comme tel, certes. Mais apprendre la mort de sa soeur peut vous déchirer. Elle avait tout simplement murmuré quelques phrases.

- Je lui avais dit qu'elle allait couler. Elle aurait du m'écouter, ma Lily. Elle est partie. Elle est morte. Elle s'est enfoncée, comme elle l'avait si bien dit... Sous l'eau. Seule et sans personne. Sous l'eau. Morte et bientôt oubliée. Sous l'eau...
 

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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 20:34

C'est extrêmement nul et court, mais j'avais pas d'idée... :

Underwater

Il y a toujours eu et il y aura toujours des êtres auxquels on ne prête aucune attention, qui semblent faire partie du paysage mais qui sont pourtant vivants. Ils sont le plus souvent petits car leur taille ne leur permet pas forcément d'être vus, et personne ne s'est jamais demandé s'ils en souffraient. Un mot gentil, un regard, quelque chose qui les ferait se sentir en vie et aimés. Ce n'était pourtant pas très compliqué si ? Certains étaient quand même remarqués, mais aussi détestés comme par exemple ces pauvres crapauds. Ils auraient aimé que quelqu'un viennent les voir et les caresse, mais jamais cela n'arrivera, ils étaient bien trop dégoûtants. C'était aussi l'avis d'Arnold, le poisson rouge. La maîtresse de maison avait beau laver son aquarium et le nourrir, il se sentait affreusement seul sous l'eau. S'il avait un ami, ce serait vraiment bien. Mais qui voudrait vivre dans un bocal de verre aussi exiguë que le sien ? Les moustiques venaient quelques fois, mais se noyaient aussitôt. Le poisson n'avait donc pas d'autre choix que de les manger, pour ne pas polluer son eau. Quelle vie triste. Être un poisson n'était vraiment pas marrant ! Au moins le chien était aimé et recevait beaucoup de caresses. Il était toujours avec ses maîtres et avait même quelques fois le droit de recevoir une petite partie de leur repas. Et que mangeait Arnold ? Des graines très bizarres, soit disant parfaites pour les créatures comme lui. Mais c'était révoltant ! Il voudrait, lui aussi, manger un morceau de fruit bien juteux. Les mangues avaient l'air si délicieuses... Arnold était sûr d'être le seul poisson qui aimerait manger des mangues, mais il s'en fichait. Contrairement à ce que pensaient les scientifiques, il était très intelligent. Il comprenait tout ce qu'il se passait autour de lui. Par exemple, une fois, une chanson est passée à la radio. Underwater, qu'elle s'appelait. Cela l'avait bien fait rire. Comme si cet imbécile de chanteur comprenait ce que c'était de vivre sous l'eau constamment. Il n'était pas un poisson ! S'il pouvait verser des larmes, la jeune créature aquatique l'aurait fait. C'était pathétique. Il aimait aimé pouvoir pleurer, au moins cela l'aurait occupé. Plusieurs fois, il s'est maudit d'avoir un QI qui dépassait celui de tous les animaux. En étant ce qu'il était, ça ne lui servait à rien. Il ne pouvait pas faire de calculs ni avoir des conversations très intéressantes puisqu'il ne savait pas parler et qu'il était SEUL. Ça lui pesait vraiment.

Un jour, il vit ses maîtres rentrer avec un drôle d'animal, un chat. Arnold eut immédiatement peur pour sa vie, car il connaissait la réputation de ces bestioles. Il risquait sûrement de finir dans son estomac. Mais en même temps, si cela pouvait lui permettre de ne plus s'ennuyer... Il n'était pas suicidaire, mais peut-être que la mort était intéressante ? Et s'il pouvait enfin parler ? Enfin être aimé comme il se doit ? Il ne savait pas ce qu'il y avait dans l'au-delà, personne le pouvait. Son attention était toujours braqué sur la créature à moustaches, qui avait des yeux plus verts que les algues qui ornaient son aquarium. Il miaulait étrangement et, bien évidement, il pouvait comprendre ce qu'il disait. Heureusement d'ailleurs. Un jour, alors qu'il somnolait contre le sable frais de son bocal, le chat sauta sur le bar où il était et s'approcha dangereusement de lui. Il mît le nez dans l'eau et Arnold se réveilla en sursaut. Il eut très peur, mais le chat ne fit que le saluer. Bon, au moins il ne mourrait pas. Ils discutèrent longuement, et le poisson était heureux que quelqu'un le comprenne. Désormais, il avait un ami avec qui parler et qui l'aimerait pour ce qu'il est.
 

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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 20:35

Il pleut. Ça me gave. J'ai envie de me pendre. Ça fait une semaine. Sans interruption. Aucune. Pas une minute ! C'est fatiguant. Dieu croit-il que nous sommes des poissons ? Ou il cherche à nous noyer, une fois encore ?
Un grognement s'échappe de ma gorge alors que je repousse une mèche humide de mon front. J'avance, aussi rapidement que possible, pour arriver chez moi aussi vite que possible. Parce qu'en plus, il a fallut que je loupe mon bus. Évidemment. La porte claque, et j'en ai rien à foutre. Je devrais peut-être. Je ne suis pas arrivée dans le salon que j'entends ma mère me hurler dessus. Trois secondes plus tard, elle arrive, l'air mécontente.
« Mila, on a des invités, on ne claque pas les portes !
- Ouais, mais on cri après ses enfants.
 »
Elle lève les yeux au ciel et repart. J'en fais de même et me dirige vers ma chambre. Si quelqu'un veut me suivre à la trace, il peut ! Suivez les gouttes d'eau, vous trouverez moi ! Après avoir jeté mon sac – mouillé – sur le sol, après avoir quitté mon manteau – est-ce un manteau ou une serpillière ? - pour le poser sur un radiateur et après avoir attaché mes cheveux en un vague chignon, je me suis jetée sur le lit, sur le dos. Je suis en week-end. Je suis trempée. Enfin mes vêtements.
Je pousse un soupir avant de me relever. Je cherche des vêtements secs dans mon armoire, les sors. Je ne peux même pas me changer pour une tenue confortable, puisqu'on a des invités. Un jean, donc. Et un pull. Allez, Mila. Courage.
J'étais en train d'enfiler mon haut sec quand la porte de ma chambre s'est ouverte. Sérieusement ? J'avais presque fini de m'habiller, merde ! Je termine d'enfiler la laine avant de me retourner, furieuse. Lui, en plus ?
« Putain Lucas ! Dégage, bordel ! »
Un air espiègle est passé sur son visage. Il s'est avancé, j'ai reculé. Il a sourit.
« Premièrement. Tu es grossière. Secondement, je remercie Dieu pour la pluie, et je regrette presque de ne pas être arrivé plus tôt.
- Et troisièmement, tu es un gros con.
 »
J'ai répondu avec un sourire forcé. Il a grogné un truc du genre que si la pluie me rendait si maussade, il ne remerciait pas Dieu pour. Et après, il a parcouru les quelques centimètres qui nous séparaient pour me serrer dans ses bras. Mécontente, un peu certes, j'ai partagé l’étreinte. J'aurais le plaisir de le mouiller un peu, au moins.

 

Gemma R. Prescott
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptySam 7 Sep - 20:36

« UNDERWATER »


          
Maureen regrettait d'avoir emménagé près de Seattle.
On était en plein mois d'octobre, et la jeune fille avait vite compris que l'État de Washington différait étonnamment de celui de l'Arizona. C'était plus au nord, et qui dit nord dit froid, dit pas de soleil, dit temps de merde, dit nuages gris à toutes heures de la journée.
Elle pesta, recroquevillée dans un coin de son arrêt de bus, la tête baissée et sa frange devant ses yeux, créant comme un rideau entre elle et les autres.
A Phoenix, Maureen n'avait pas eu ce problème-ci. Il faisait quasiment toujours beau, même en automne. Les arbres étaient le plus souvent des palmier, il y avait le soleil, le sable, le vent fort et les orages d'été. Elle lui manquait tant, cette violence aride des paysages du sud. Ce sentiment qu'elle éprouvait quand, petite, le blizzard venait en plein milieu de la nuit et que le sable volait en tous sens, comme s'il voulait se vanter, montrer sa force et sa puissance, arguer au monde entier qu'il balayait tout sur son passage. Un vent de liberté.
Avant, Maureen croyait que le blizzard était la chose la plus fascinante et effrayante à la fois du monde entier.
C'était avant de rencontrer les tempêtes de neiges du nord et ses intempéries interminables.
Mais ça n'avait rien de fascinant, ni d'effrayant. C'était lent, répétitif, long, perpétuel, trop répété pour avoir un semblant de magie.
Sa tante habitait dans une petite maison d'une petite ville de trois petits milliers d'habitants. Mais bien entendu, l'option cinématographie n'était disponible que quelques kilomètres plus loin, dans une grande capitale d'État. Seattle. Washington. Les orages. Les nuages. Ça en devenait lassant.
La blonde avisa son téléphone portable. Le bus avait une demi-heure de retard. Comme toujours. Exaspérant.
Ça n'avait pas l'air de déranger le groupe de jeunes à côté d'elle. Ils criaient comme des gosses en lançant des rires faux et avaient des sujets de conversations tous plus idiots les uns que les autres.
Elle ramena un peu plus ses genoux contre sa poitrine et soupira discrètement. Elle constata qu'elle était morte de froid. Ses doigts étaient gelés et elle peinait à les étirer convenablement.
Sa garde robe n'avait pas eu le temps de s'habituer au changement.
Et puis, comme un signal, simultanément, elle entendit un bruit sourd et une vibration dans ses mains. Les deux chocs combinés la firent sursauter et crier. Elle plaqua une main devant sa bouche par réflexe et releva la tête dans la seconde. Un faisceau lumineux venait de déchirer le ciel. Un éclair. Et un coup de tonnerre, juste avant. Elle resta quelques secondes les yeux dans les nuages, cherchant un autre rayon électrique. Mais rien ne vint. Elle s’aperçut alors, progressivement, des bruits à sa gauche. Elle tourna la tête et constata que les adolescents riaient. D'elle. Ils se moquaient d'elle. Pourquoi ? Ah, elle avait crié. Elle rougit et détourna immédiatement le regard. Zut.
Des clapotis lui firent relever les yeux. Un mètre devant elle, l'eau coulait percutant de sol dans un petit bruit de souffrance. Les quelques gouttes furent bientôt remplacées par un torrent de douleur.

Maureen repensa à la vibration. Elle l'avait oubliée, celle-là. La jeune fille consulta son téléphone portable. Elle appuya sur le bouton d'arrêt de mise en veille. Mais l'écran resta noir. Elle retenta. Et remarqua le petit point rouge en haut à droite. Plus de batterie. Zut de zut.
Ça n'était pas sa soirée. Ça n'était pas sa journée. Ça n'était pas sa semaine. Ça n'était pas son mois.
Vive Seattle.
Elle releva les yeux et s'aperçut avec une pointe de frayeur qu'elle était seule. Deux jeunes marchaient, un parapluie à la main, à une vingtaine de mètres de l'arrêt de bus. Les autres étaient donc déjà partis.
Maureen analysa la situation. Elle fronça les sourcils. Pas de moyen de communication. Pas de bus.  Pas de parapluie. Pas envie de rester jusqu'au petit matin.
La nuit était déjà noire, et les conifères pliaient légèrement au rythme du vent et de la pluie.
La jeune fille prit son courage a deux mains. Elle déglutit avec difficulté, prit son sac, se leva, positionna l'anse de la besace sur son épaule et commença à parcourir une centaine de décimètres.
La pluie heurtait l’asphalte juste devant elle. Un pas, et elle sentirait la substance couler sur son pied, s'enfouir dans sa ballerine, pénétrer la semelle et lui geler les os.
Elle hésita quelques instants, jaugeant le pour et le contre, l'envie et la répulsion, avant d'avancer finalement, sa tête la première.
Elle mit quelques secondes à sentir la goutte de pluie glisser le long de ses cheveux blond, coupé en un carré plongeant. Mais quand l'eau coula dans son cou, elle s'élança d'un coup unique dans l'intempérie.
En trois secondes, elle fut trempée. Ses vêtements prenaient l'eau comme des éponges, le liquide l'enveloppait et Maureen fut étonnée de sa chaleur – elle s'attendait à pire, réellement pire. Elle soupira, cala son téléphone portable dans son sac plastique où traînaient déjà quelques bonbons sucrés achetés le matin même et commença à avancer.
Même si ses pas lui semblaient lourds, même si elle sentait un l'eau parcourir chaque parcelle de son corps, la blonde se surprit à apprécier la fraîcheur qu'elle percevait. C'était plutôt revigorant, et les gouttes qui lui heurtaient les vêtements étaient assez relaxantes. On aurait dit un massage. Elle releva la tête afin de pouvoir pleinement profiter de cette sensation.
Elle avait comme l'impression d'être dans un bain, ou plutôt sous la douche. Mais ça avait encore quelque chose de différent. Quelque chose d'unique. Là, elle se sentait entièrement enveloppée, entièrement prise. Mais elle pouvait respirer – et les odeurs qu'elle respirait étaient dignes du Paradis, amer, sucrées, mystiques –, et c'était en ça assez exceptionnelle.
Elle était dans l'eau.
Elle était sous l'eau.
Underwater.

 

Rachel E. Dare
Rachel E. Dare
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MessageSujet: Re: Le second, Samedi 7 Septembre.   Le second, Samedi 7 Septembre. EmptyMar 1 Oct - 19:55


RÉSULTATS DU CONCOURS.
Coucou les gens ! Alors, je sais. On est impardonnable de ce côté-là, des semaines que l'on vous fait attendre ces fichus résultats. Honte à nous n'est-ce pas ? La vérité vraie, est que je n'ai pas voulu poster de suite le bilan parce qu'on manquait cruellement de votes et d'avis. Le jeu à l'air de perdre sa popularité, et je me refusais de vous donner un résultats qui ne concernait que trois votants à peine. Alors j'ai attendu, d'abord en envoyant des MP, puis ensuite en attendant quelques retardés. Mais pas grand chose de plus. Et puis après, la fabuleuse enfant organisée que je suis a perdu les avis qu'on lui avait communiqué dans sa multitude de bloc notes alors... Bah voilà. Ca a mis un peu de temps à arriver, et même si je n'ai pas toutes les critiques (et je m'en excuse), je viens avec les résultats qui sont je suppose très attendus.
Voilà donc le classement :
A la première place, nous avons un ex aequo entre ALEXIA FERNANDES & NEVILLE LONDUBAT ! Ils recevront donc tout les deux 200 points RP, un grand bravo pour leurs beaux textes. Les suivants et remportant 100 points RP, GEMMA R. PRESCOTT, MARY JONES, LYLINA PARKER & JOYCE NELLER n'ont pas grand chose à envier aux deux premiers ! !
Merci quand même aux quelques personnes qui ont bien voulu voter, ils recevront chacun 50 points RP ! Maintenant, place aux critiques !

Alexia Fernandes:

Joyce Neller:

Lilyna Parker:

Neville Londubat:

Mary Jones:

Gemma R. Prescott:
 

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